Au fil des ans, le compositeur américain est devenu omniprésent dans les sphères de l'ambient, du drone et de la musique électronique. Que ce soit grâce à ses albums célestes ou à ses talents d'ingénieur du son salués par d'innombrables artistes (Ryuichi Sakamoto, Terry Riley, Loscil, Julianna Barwick...). Alors que les compositions d'Irisarri présentent généralement un éventail de sonorités ambiantes modernes qui s'entremêlent à des symphonies océaniques avec des boucles enregistrées, une guitare électrique jouée à l'archet et de vastes plages de sons saturés, son premier album pour Dais Records reprend ces thèmes habituels et laisse place à des influences metal et classiques qui accentuent les tendances mélancoliques d'Irisarri.