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La deuxième de couv. indique : 1939. Léa Delmas a dix-sept ans. Sa famille possède le domaine de Montillac, au coeur du vignoble bordelais. Sa vie se résume aux senteurs de cette terre, à la lumière, à la tendresse des siens. Elle fiance sa cousine Camille au beau Laurent qu'elle aime secrètement. La déclaration de guerre va anéantir l'harmonie de cette fin d'été, et jeter Léa dans le chaos. Laurent réfugiés en Espagne, elle doit protéger Camille et l'aider même à accoucher. Dans le même temps, Léa découvrer les horreurs de la guerre, l'exode sous les bombes, la mort, l'occupation nazie. Intrépide et indépendante, elle découvre les jeux de l'amour et les dangers d'une époque. Elle se mêle aux activités de la Résistance, côtoie la faune louche de la collaboration, rencontre des figures singulières et suspectes et, grâce a sa bicyclette bleue, passe des messages d'une zone à l'autre. Mais Léa n'a pas oublié Laurent. En 1942, elle le retrouve dans une cache toulousaine de résistants et va lui avouer son amour de la façon la plus directe...

La 4ème page de couverture indique: Il était protestant et se destinait à être médecin et chirurgien dans sa ville natale de Honfleur, mais la politique de Louis 14 en décida autrement .Les pémices de la révolution de l'édit de N antes interdirent aux protestants d'exercer certains métiers en médecine . Aussi Alexandre Oexmelin, voyant mal son avenir en France, signa-t-il un engagement de trois ans avec la compagnie des Indes occidentales du Havre. Destination: l'île de la Tortue! Ce fut un arrachement que de quitter sa ville, sa fiancée, sa famille à vingt-trois ans, mais l'aventure l'appelait.Seulement , la compagnie des Indes occidentales l'avait trompé et, à peine arrivé à la Tortue,il y fut vendu sur la place publique comme esclave. Il parvint à s'évader devint boucanier puis chirurgien de la flibuste. Il participa à tous les grands combats navals etterrestes que les flibustiers livrèrent à l'ennemi commun, l'Espagne et ses lourds galions chargés de l'or du Nouveau Monde. Il fut de la prise de Campeche, Cartagena et Veracruz. Il connut toutes les figures légendaires des grands flibustiers d'alors, l'Olonnais , le perfide Morgan, Monbars l'exterminateur, Vent-en-panne ou Roc le brésilien, Laurent De Graft, le mélomane qui combattait en musique et avait son propre orchestre à bord.Se battant d'une main, Alexandre réparait ensuite de l'autre ce qu'il avait dûment pourfendu!

La 4e page de couverture indique : Ce roman se passe à Paris. Et pourtant on y croise des crocodiles. Ce roman parle des hommes. Et des femmes. Celles que nous sommes, celles que nous voudrions être, celle que nous ne serons jamais, celles que nous deviendrons peut-être. Ce roman est l'histoire d'un mensonge. Mais aussi une histoire d'amours, d'amitiés, de trahisons, d'argent, de rêves. Ce roman est plein de rires et de larmes. Ce roman, c'est la vie.

La 4e page de couverture indique : Ce livre est une bourrasque de vie... Un baiser brûlant du seul qu'on ne doit pas embrasser. Deux bras qui enlacent ou qui tuent. Un homme inquiétant, mais si charmant. Une femme qui tremble et espère ardemment... Un homme qui ment si savamment. Une femme qui croit mener la danse, mais passe son tour. Des adolescents plus avertis que les grands... Un homme qui joue les revenants. Un père, là-haut dans les étoiles, qui murmure à l'oreille de sa fille. Un chien si laid qu'on s'écarte sur son passage. Des personnages qui avancent obstinément comme des petites tortues entêtées qui apprendraient à danser lentement, lentement dans un monde trop rapide, trop violent...